Candidat Mouvement des Libérés aux élections législatives 2017
☛ 10ème circonscription de la Seine-Maritime
Bacqueville-en-Caux • Bellencombre • Cany-Barville • Clères • Doudeville
Fontaine-le-Dun • Longueville-sur-Scie • Ourville-en-Caux • Saint-Saëns
Saint-Valery-en-Caux • Tôtes • Yerville • Yvetot
56 ans, chirurgien-dentiste à Héricourt-en-Caux, habitant à Lindebeuf, je vois dans les législatives l’opportunité d’une action purement citoyenne. Je ne cherche pas le mandat. Nous avons créé, en janvier, un petit parti ni de droite, ni de gauche, ni du centre : le Mouvement des Libérés. Le but est de libérer l’économie et le social, seul moyen de redresser la France. Pour cela, il faut ramener du bon sens à l’Assemblée nationale, défaire les lois plutôt qu’en faire. Et pour défaire les lois, il faut des députés.
Je soutiens Faraj Chemsi et le Mouvement des Libérés aux législatives 2017
Je suis candidat et ne compte pas changer notre ruralité à travers ces perpétuels discours généreux, ces promesses sans véritables solutions qui ignorent les réalités économiques, la dette publique (2200 milliards soit 100% du produit intérieur brut, PIB.)
Je suis candidat car nous n’avons rien à attendre de la classe politique actuelle, cette association de gamellards sans foi ni loi.
Je suis candidat car nous n’attendons plus rien de leurs gesticulations électorales.
Je suis candidat car il nous appartient, à nous, la société civile plongée dans l’économie réelle, de reprendre rapidement la situation en main.
Je suis candidat car il faut remplacer ces moulins à vent et je vous engage à le faire avec moi.
Je suis candidat pour montrer qu’il est impératif que chacun de nous puisse se porter candidat aux législatives afin de balayer ces politiciens professionnels et les remplacer par de véritables acteurs socio-économiques.
Mes engagements reposent sur des valeurs simples que j’applique dans ma vie professionnelle et personnelle : naturel, impartial, juste, logique, prévoyant.
Je suis candidat aussi suite à des constats, constats qui sont ceux d’une majorité d’entre nous :
• Les hauts fonctionnaires sont au pouvoir et en ont fait une chasse gardée en contrôlant les partis politiques sans l’investiture desquels on n’a aucune chance de se faire élire : les Français n’ont le choix qu’entre les extrêmes et le système.
• Il existe en France deux catégories de citoyens : les assistés et les esclaves. Les premiers vivent assez bien avec les 200 milliards d’euros qu’emprunte l’Etat chaque année. Les esclaves, qu’ils soient salariés du privé ou du public, ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts; s’ils sont créateurs de richesses, ils travaillent la tête dans le guidon sous les menaces de l’administration, du fisc et des miliciens de l’URSSAF.
• Le poids excessif de l’Etat entrave toujours plus nos libertés, avec une inflation législative, une accumulation de normes, de règlementations et de lois que plus personne ne comprend.
• La protection sociale coûte 5 points de PIB de plus en France qu’en Europe.
• Un quart de la population seulement est créatrice d’activité marchande : la société civile doit vite retrouver son indépendance et les moyens pour prospérer.
• Le modèle social détruit des emplois et crée des travailleurs pauvres (7,1% de travailleurs pauvres en France, 3,5% en Allemagne).
Je suis donc candidat :
✓ contre le trop-plein administratif français
✓ pour la possibilité de jouir pleinement du fruit de son travail
✓ contre les politiciens professionnels cumulards
✓ pour apporter le « bon sens » de la société civile
✓ contre les mandats multiples et le clientélisme
✓ pour défaire les lois plutôt que d’en faire
✓ contre le mille-feuille des collectivités territoriales, pour plus de proximité avec les citoyens
✓ pour la liberté économique et sociale qui garantit la liberté d’entreprendre, le développement économique et l’emploi
Je m’engage à :
✓ respecter le mandat accordé par mes concitoyens
✓ rendre compte de mes actions
✓ veiller à l’équité entre les communes de la circonscription
✓ travailler en synergie avec les élus - maires, conseillers régionaux, généraux et territoriaux - dans le cadre des projets structurants
✓ porter et promouvoir les projets véritablement innovants
✓ faire de notre 10ème circonscription une priorité
✓ soutenir les projets viables économiquement en tenant compte de leur rentabilité afin de ne pas endetter le citoyen
✓ ne faire qu’un seul mandat
✓ promouvoir absolument une agriculture rentable de qualité
✓ ce que nos commerçants ne soient pas nos nouveaux pauvres
✓ être le défenseur des libertés de tout un chacun
✓ réduire les dépenses de fonctionnement de l’État
Pour faire bref, les textes ouvrant la sécurité sociale à la concurrence sont déjà en place dans le code français de la Sécurité sociale, de la mutualité et des assurances depuis plus de dix ans, alors que le président F. Mitterrand s’était résolu, en 1992, à signer les directives européennes qui instituaient cette véritable révolution afin de permettre à la construction européenne de se poursuivre et d’éviter un éventuel cavalier seul de l’Allemagne réunifiée.
Puis les dispositions qui libéralisent le marché de la Sécurité sociale en matière de maladie, vieillesse et chômage ont été adoptées par voie d’ordonnance par Lionel Jospin le 19 avril 2001, non sans que les syndicats de salariés, en tant que gestionnaires des caisses, eussent été abondamment consultés pendant les neuf années qu’ont duré les travaux préparatoires.
Il convient tout d’abord de lever la confusion, volontairement entretenue par les partisans du monopole, entre la politique sociale dont les États restent maîtres, et les organismes chargés de la mettre en œuvre dans le respect des lois européennes permettant la libre circulation des biens et des personnes.
L’État doit accepter que tous les organismes européens habilités soient en concurrence avec les organismes nationaux. On retrouve d’ailleurs cette disposition sur le site du RSI (Régime Social des Indépendants) qui ouvre ses contrats d’assurances sociales à tous les Européens. Pourquoi la réciproque ne serait-elle pas vraie ?
La situation est rigoureusement identique à celle de l’assurance automobile, où tous les Français sont obligés de souscrire un contrat mais peuvent choisir un organisme français ou européen qui établit librement ses tarifs.
Les organismes pouvant proposer une assurance maladie, vieillesse, chômage en France sont clairement désignés par les directives de 1992. Il s’agit des sociétés d’assurance, des institutions de prévoyance et des mutuelles (au nombre desquelles figurent les caisses de Sécurité sociale qui sont toutes régies par le code de la mutualité).
Aussitôt, de nombreux citoyens français ont décidé de faire valoir leurs droits et ont quitté la Sécurité sociale. Mais ils ont essuyé les foudres des directeurs de caisse, avec la complicité affichée des magistrats siégeant dans les TASS (Tribunaux des Affaires de Sécurité Sociale), qui ne sont que le bras armé de la Sécurité sociale, des politiques, des représentants de l’État, des notables des partis et des syndicats, qui ont tous pour seul projet de maintenir leur avantages et leur poste.
Les gardiens du temple Sécurité sociale, affolés par la fuite de leurs captifs, ont même fait voter par le Parlement en 2005 une loi punissant – tenez-vous bien !- l’incitation au non-paiement des cotisations et à quitter la Sécu ! Cette loi, digne des pays les plus totalitaires, avait été surnommée par les médias « loi anti-Reichman », du nom du leader du combat contre le monopole de la sécurité sociale.
Ce que les barons de la Sécurité sociale n’ont pas osé dire, c’est qu’ils ont dû très vite remiser leur loi au cimetière des lois défuntes car elle allait leur valoir une cinglante condamnation de la Cour européenne de justice !
Celui qui est poursuivi, en revanche, c’est Dominique Libault, le directeur de la Sécurité sociale au ministère, pour discrimination à la suite de la plainte pénale déposée par un citoyen français courageux, M. François Sautai, qui demande simplement à bénéficier de la liberté de la protection sociale.
La liberté est en effet le principe fondamental de la République et l’action de ce citoyen entre parfaitement dans le cadre de l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, qui stipule que les droits de l’homme sont « la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ».
Récemment, le site Mediapart, fortement ancré à gauche, a annoncé à ses lecteurs la fin du monopole de la sécurité sociale.
Dernièrement, Mme Karniewicz, qui sait de quoi elle parle car elle a été présidente de la CNAV (Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse) pendant 10 ans, a confirmé que les salariés et cadres du privé ont le droit de s’assurer librement et individuellement, autrement dit de sortir du système et de cotiser pour eux-mêmes. Il ne faut pas oublier que nous vivons dans une société de la communication reine et que la moindre information, le moindre événement peuvent engendrer le fameux « effet papillon ».
Et tout porte à croire que l’annonce de la liberté sociale n’engendrera pas le chaos, mais certainement une nouvelle prospérité économique, tout simplement parce que les charges sociales sont décrites depuis de nombreuses années par tous les experts comme le boulet de l’économie française.
La communication informatique nous a fait changer d’époque. Elle a la caractéristique de résister à la censure des pouvoirs en place et de se développer exponentiellement, à l’infini, par le biais de groupes sociaux. Les principaux sont Facebook et Twitter. Ils ont été l’élément déterminant de la révolte qui a commencé avec la Révolution de Jasmin, en Tunisie et qui a balayé les chefs d’état arabes qu’une majorité d’observateurs pensaient indétrônables.
C’est ce qui est en train de se passer pour la Sécurité sociale. De nombreux groupes sociaux se sont créés, « Les médecins ne sont pas des pigeons », « Les pigeons de la Sécu, RSI, URSSAF, MSA et Retraites etc. », « Comment quitter la Sécu », « J’ai quitté la Sécu », ainsi qu’une multitude de groupes satellites et de sites internet.
Nous assistons donc actuellement à une vague massive et fort bien organisée de désertion des captifs de la Sécu. Ce mouvement est peut-être le début d’une nouvelle révolution française, sociale et pacifique.
Les Français ont parfaitement compris que leur pays est soumis à la mondialisation, à la concurrence extérieure, et qu’il ne pourra pas conserver son modèle social ruineux, où tout le monde vit aux crochets de tout le monde, à l’exception des vrais créateurs de richesses, que ce système de sécurité sociale est le principal moteur du déclin français, et qu’il n’y a qu’une seule issue : quitter la Sécu en se fondant sur les lois européennes et françaises qui le permettent.
Pour améliorer leur compétitivité, pour échapper au dépôt de bilan, pour résister à la succession des crises, les créateurs de richesse n’ont qu’une seule solution : quitter la Sécu et ainsi sauver leur activité économique en la mettant à l’écart de l’enfer social qu’ils subissent depuis trop longtemps.
Les dirigeants politiques qui se sont évertués à nier l’abrogation du monopole de la Sécurité Sociale, à ne pas réformer le système, ont ruiné l’économie française en mettant des centaines de milliers d’entreprises, d’artisans, de professions libérales et de travailleurs indépendants en grande difficulté, quand ce n’est pas au tapis. Ils sont responsables de l’état actuel de la France et surtout de l’endettement monstrueux laissé à nos enfants.
En agissant ainsi, les représentants de l’État, les notables des partis et des syndicats ont fini par obliger les Français à trouver seuls les solutions à leurs difficultés. C’est ce qu’ils font en optant par milliers pour la liberté de la protection sociale.
L’histoire française est en mouvement. Une révolution de velours est en cours, la « Révolution Camomille », la bonne tisane qui permet de passer une nuit réparatrice et de se réveiller sans gueule de bois sociale.
Dr Faraj Chemsi ✒ 22 mars 2013
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